Cet article a pour but d’apporter une première réponse, qui je l’espère vous incitera à pousser cette porte si le besoin devait se présenter.
Les évènements climatiques que connaissent nos territoires ainsi que l’instabilité politique et économique viennent renforcer un contexte fragile dans lequel les plus vulnérables peinent à se retrouver.
Les difficultés sanitaires, sociales et économiques sont de fait de plus en plus prégnantes et complexes, légitimant cette sensation « d’insécurité sociale » grandissante et commune.
Parallèlement, les professionnels de l’action sociale et médico-sociale subissent une transformation de leur métier. Pris entre le marteau et l’enclume, ils doivent tenter aujourd’hui de résister au resserrement de l’étau avec les moyens dont ils disposent.
Cette action sociale n’est aujourd’hui perçue qu’à travers des dispositifs et le manque criant de moyens matériels, humains et financiers. Pourtant, elle est bien plus que cela. L’impact et l’importance de l’action sociale, et qui plus est de la relation humaine, dans une société restent encore aujourd’hui largement sous-estimés.
D’ailleurs, l’actualité montre que malgré l’évolution de la législation et des modalités de prise en charge, le panel de dispositions publiques existant ne suffit pas à répondre à l’évolution mais surtout à la complexification des problématiques sociales et des relations professionnelles. Ces dispositions s’essoufflent de plus en plus vite, peinant ainsi à répondre aux besoins et attentes des citoyens.
De nombreuses situations restent encore sans réponse. Elles incombent à la fois aux usagers, aux professionnels et aux institutions. Manque de temps, manque d’informations, difficultés d’accès aux services, délai d’attente trop long, culpabilité, honte, peur d’être reconnu, peur d’être stigmatisé … les raisons de l’absence de réponse et/ou du non-recours aux droits s’opposent, se complètent mais sont surtout encore nombreuses aujourd’hui.
La fracture sociale, imagée par ce fossé entre les dispositifs et les besoins réels des administrés, s’accentue de manière sournoise et certaine.
Il semble nécessaire de réhabiliter l’action sociale afin de réinventer les modalités de l’accompagnement social. Il semble indispensable de dé-sacraliser l’action sociale et médico-sociale afin d’en objectiver et d’optimiser les actions mises en oeuvre.
Aujourd’hui, l’entreprenariat social répond à une question d’utilité sociale. Il a la capacité de porter des projets d’utilité publique, dans une dynamique solidaire et économiquement viable. L’une des formes de cet entreprenariat social est celle du service social indépendant.
La chute n’est pas un échec. L’échec est de rester là où on est tombé
Le service social indépendant est une externalisation du service social. Sans se substituer aux administrations et services prévus à cet effet, il s’agit de proposer de nouvelles modalités de l’accompagnement socio-professionnel. Une alternative prenant la forme d’un service personnalisé, à la carte.
Le service social indépendant répond à la question de l’innovation sociale par sa volonté d’apporter une réponse plus globale, plus adaptée, qui s’inscrit dans le temps.
La prestation consiste à mener toute action susceptible de prévenir et/ou de surmonter des préoccupations individuelles et/ou collectives. Elle peut relever à la fois du champ personnel et/ ou professionnel.
Recourir à un service social indépendant, c’est la garantie d’une intervention adaptée à votre demande, à vos attentes et à vos besoins. C’est la garantie d’un accompagnement et d’une action suivis, la garantie d’obtenir un résultat.
Cette intervention se caractérise par la discrétion et la flexibilité. La rencontre et l’échange peuvent être ponctuels ou s’inscrire dans le cadre d’un accompagnement privilégié, régulier, respectueux de votre rythme et de votre budget.
En effet, l’objectif est d’apporter une réponse à vos besoins non satisfaits, dans un délai circonscrit.